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La névrose obsessionnelle
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Si Charles Melman a jugé bon de travailler la clinique de la névrose obsessionnelle durant deux ans de séminaire, c'est qu'il la considère à la fois comme une clinique du passé et une clinique actuelle.
Dans ses formes bénignes, on l'aperçoit à peine si l'on n'est pas un praticien averti. Par contre les formes graves sont très handicapantes, surtout socialement. Il y a dans cette pathologie de l'immuable, de la répétition, la culpabilité d'un meurtre que le patient aurait commis sans s'en apercevoir, sans parler de son impossibilité à réaliser ses vœux et son impuissance.
L'étude très fine que fait Charles Melman dans le domaine de la linguistique et de la grammaire éclaire et élargit le travail de Freud à partir des carnets de l'Homme aux rats. Dans le texte allemand, il repère l'insistance de certaines lettres, propre à cette pathologie et met en évidence le travail de l'inconscient.