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Numéro 93 - Revue quadrimestrielle
Flore GARCIN-MARROU, Valérie MARANGE
Avec la participation de Manola ANTONIOLI, Olivier APPRILL, Annie BENVENISTE, Françoise BONARDEL, Morten CHEMNITZ, Giulia CUSTODI, Antoine DE BAECQUE, Marie DE QUATREBARBES, Ridha DHIB, Florian GAITé, Maël GUESDON, Charlotte HESS, JOYCE, Miléna KARTOWSKI-AÏACH, Guillaume MAZEAU, Evelyne MICOLLIER, Serge PEY, Behrang POURHOSSEINI, Gaëlle PRANAL, Claudia RIGHINI, Stéphanie ROUSSET, Esther SALMONA, Carolina E. SANTO, René SCHERER, Damien SCHULTZ, Monique SELIM, Bridget SHERIDAN, JØrn H. SVAEREN, Guy TRASTOUR, Nadia VADORI-GAUTHIER, Céline VIDAL PASCUAL, Christiane VOLLAIRE, Aline WIAME
Dans la revue :
Les marches d’aujourd’hui peuvent être marche d’union, marche de liberté, marche des fiertés, marche silencieuse, marche blanche. Ces « marches » sont-elles autant de formes dépolitisées des manifestations d’autrefois ? Est-ce la même énergie qui met les foules séculières en mouvement que celle qui attirait les pèlerins ? La marche n’a-t-elle pas été saisie par le discours médiatique comme la plus normale des activités, à laquelle il suffit juste de trouver une motivation, la véritable étant la santé ? Les marches qui se multiplient ont une grande diversité de significations. Elles marquent souvent un désir de ralentissement du corps par rapport au fonctionnement quotidien. Elles présentent de nouvelles propositions pour prendre plaisir à être ensemble. Devant la résurgence sécularisée et dépolitisée de cette pratique on peut se questionner : qui marche ? Qui marche pour qui ? Comment marche-t-on ? Pour quelles raisons ? Il s’agira d’évaluer la puissance et les limites de ces marches. Faut-il réinventer nos façons de marcher ? Qu’ont à nous apprendre le marcheur, le promeneur, le flâneur ou celui qui déambule, vadrouille, erre ou vagabonde ? Où nous entraînent les marches collectives ?
sommaire
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