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Le besoin, voire la nécessité de séduire semble avoir envahi les sphères économiques, politiques, médiatiques, familiales et individuelles. D’un sexe à l’autre, d’un individu à l’autre, entre un individu et une foule, entre deux générations, la séduction tisse des liens ambigus sous les auspices de la rencontre, du désir, du plaisir, d’Éros, mais aussi du pouvoir, de la domination, voire de la manipulation et de Thanatos. Que penser aujourd’hui de sa place et de ses formes dans la relation parents/bébé, dans les relations entre enfants, entre adolescents, dans leurs liens aux adultes ? Du côté des professionnels de l’enfance peut-on enseigner, éduquer, et soigner sans un minimum de séduction ? Peut-elle autoriser une alliance de qualité, un transfert bien tempéré ?