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Génocide, disparition, déni
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Poursuivant sa réflexion entreprise dans son livre « Génocide
et transmission » et toujours à partir du génocide des Arméniens
1 auteur s'interroge sur le dispositif politique de la disparition et
sur les effets psychiques qu'elle produit sur ceux qui sont restés en
vie.
Pourquoi la mise en place de la disparition des êtres, puis de
leur corps, est-elle au centre du processus génocidaire, et pourquoi
ces dernières années l'exhumation des charniers et l'identification
des corps de ces disparus ont-elles revêtu une telle importance
pour leurs proches comme pour le reste de la population ?
Enfin pourquoi le déni de l'acte génocidaire fait-il toujours
partie intégrante de tout génocide?
Ainsi, à partir d'événements aussi éloignés dans le temps et
l'espace que les génocides des Arméniens, des Juifs, des
Bosniaques, des Tutsis mais aussi de la Terreur vendéenne et des
massacres d'Algérie, l'auteur tentera de dégager les spécificités de
ce qu'elle appelle la structure génocidaire qui leur est commune
et dont le couple disparition-déni constitue le noyau.
Par ailleurs, sera présente, tout au long de ce livre, une
réflexion sur les liens qui unissent les tueurs aux rescapés, mais
aussi les héritiers des uns aux héritiers des autres pour comprendre
ce qui pourrait permettre aux uns et aux autres de devenir des
endeuillés pour pouvoir ensuite être des passeurs de vie.